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dimanche 23 août 2015

Je partage un petit questionnaire qu'à mis en place Isa pour la journée de la littérature


Nouvel invité sur le blog en ce Ray’s Day, Wendall Utroi que j’ai découvert avec son roman « La légende des Klungs », un très agréable moment d’évasion. Un clic sur l’image vous mènera vers mon avis.
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  • Si tu étais un livre, tu serais : Certainement les fables d’Ésope. De nombreux auteurs s’en sont inspirées au fil du temps. Il ne vieillit pas. J’avais été stupéfait par les enluminures et les lettres gothiques de la version que l’on m’avait offerte.
  • Si tu étais un personnage de BD, tu serais: Sans hésiter; Gardfield, humour féroce d’un gros chat fainéant. Souvent en quelques dessins l’auteur réussissait à philosopher sans disserter.
  • Si tu étais un poète, tu serais: Au risque de ne pas être original, Rimbaud pour le dormeur du val qui a été le premier poème que j’ai appris par cœur.
  • Si tu étais une adaptation cinématographique, tu serais : La ligne verte de Stephen King. Livre sublime et film vraiment réussi. Et si la gentillesse, l’altruisme et l’empathie n’étaient pas naturels ? Lorsque l’on regarde notre monde, je me le demande. C’est un peu le thème de mon premier roman.
  • Si tu étais un classique de la littérature : Germinal, je suis né dans les corons du Nord et ce livre m’a vraiment touché.
  • Si tu étais une citation, tu serais :Tout ce qui ne nous tue pas rend plus fort. Garder le moral en toute occasion, même si ce n’est pas facile.
  • Si tu étais un genre littéraire, tu serais : Fantastique… ma bible d’adolescent
  • Si tu étais un mot, tu serais : Sensibilité. . .
  • Si tu étais un signe de ponctuation, tu serais : Les points de suspension. Ils donnent au lecteur une part de mystère, d’imaginaire. Ils sont parfois un silence que des mots ne pourraient définir.
  • Si tu étais une pièce de théâtre, tu serais : Les fourberies de Scapin, la première vraie pièce vue dans un vrai théâtre, sinon celles avec Robert Lamoureux, il me faisait mourir de rire.
  • Si tu étais un prix littéraire, tu serais : Un prix décerné par les lecteurs. C’est vraiment pour eux que l’on écrit et leur retour m’est vraiment précieux.
  • Si tu étais une librairie, tu serais : Une librairie à Kaboul, construite avec les palettes et coiffée de tôles ondulées, une des premières après la défaite des talibans.
  • Si tu étais une légende, tu serais : Si j’osais, je dirais la légende des Klungs ! ;) … Plus sérieusement, l’Atlantide.
  • Si tu étais un moment de la journée, tu serais : L’aube. Elle accouche de la lumière en s’extirpant de la nuit, frontière entre deux mondes imparfaits ou tout peut arriver.
  • Si tu étais un rêve, tu serais : Un rêve dans lequel je vole, l’homme a toujours voulu voler. C’est certainement lié au sentiment de liberté, rien de bien transcendant.
  • Si tu étais un sentiment, tu serais : La passion ; elle est dévorante, exigeante. Elle peut tout construire, comme tout détruire et même aller jusqu’au crime passionnel. Elle peut être amour, haine, raison ou déraison. Je pense qu’un jour je dépeindrais un personnage passionné, c’est un sentiment qui m’intrigue.
  • Si tu étais un personnage célèbre, tu serais : Je ne veux pas tomber dans le cliché, mais en même temps, je n’ai pas vraiment de réponse. Certainement un explorateur, quel qu’il soit !
  • Si tu étais une époque, tu serais : Le futur, ma curiosité me pousse à vivre vieux ! OK, si c’est une époque révolue, je dirais l’âge des lumières pour toutes ses découvertes, son passage d’une ère à l’autre.
  • Si tu étais un objet, tu serais : Tout le monde s’attend à lire : un livre, une plume ou un crayon, mais je pense plus à l’objet des désirs : le désir lui-même ! Cette question n’est vraiment pas simple…  Peut-être un miroir, pour y voir la vie se refléter en moi, recevoir les confidences, les joies et les peines, les joies et les reproches.
  • Si tu étais une période de l’année, tu serais : L’été, et plus précisément le début de l’été quand les journées sont les plus longues.

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